Quand le fou vise la Lune, le plus fou n'est-il pas celui qui le suit ?

Depuis son élection début Novembre 2016 (et son investiture fin Janvier 2017), mais plus fortement ces dernières semaines, Donald TRUMP (le 45ème président des États-Unis) a pris l'habitude d'adopter une vue simpliste des relations internationales et de brusquement changer la position de son pays dans des situations pourtant sensibles.
À sa décharge, on peut reconnaître qu'il suit les annonces qui ont mené à son élection mais, si son comportement emporté pouvait charmer ses électeurs avant leur vote, qu'il persiste à adopter des positions univoques maintenant qu'il est clairement en capacité de voir la complexité de certaines situations pose un gros problème. Malheureusement, étant donné qu'il est à la tête de la première puissance économique du monde et qu'ils refusent de s'en émanciper, les autres acteurs économiques ont tendance à le suivre.

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When the fool targets the Moon, does not the follower craziest ?

Since his election in early November 2016 (and his inauguration in late January 2017), but more strongly in the recent weeks, Donald TRUMP (the 45th President of the United States of America) has become accustomed to adopt a simplistic view of international relations and abruptly change the position of his country in situations that are sensitive.

In his defense, we can recognize that he follows the announcements that led to his election but, if his unpredictable side could charm his constituents before their vote, that he continues to adopt unambiguous positions now that he is clearly able to see the complexity of certain situations is a big problem. Unfortunately, since he is at the head of the world's largest economic power and because they refuse to emancipate, other economic actors tend to follow him.